La première guerre mondiale illustrée par de très courtes vidéos…

La violence des tranchées :

 

une offensive extraite d’un film très réaliste sur ce qu’elles furent :

 

Un char célèbre :

 

Une vidéo rarissime présentant les taxis de la Marne :

 

 

Une chanson humoristique dans une interprétation de  « Dranem » ( célèbre chanteur de café concert de l’époque)

Ce chant humoristique « V’la les Gothas » ou « sous les Gothas » évoque ces premiers bombardements , particulièrement ceux sur Paris en 1918. Les Gothas G était une famille de bombardiers biplans allemands durant la Première Guerre mondiale.
Les paroles sont de Lucien Boyer et la musique de Georges Cobb.

Quand les gothas viennent sur Paris
J’vais à la cave me mettre à labri
Je retrouve là, en pyjama
Un tas de gens assis sur des pliants
Le long du mur dans un angle obscur
J’vis dernièrement un couple étonnant
De bons vieux bourgeois
Madame aux abois
Criait à pleine voix
Serre moi contre toi, serre toi contre moi
Tiens moi , bien, bien, bien
Dis mon Adrien
Cest fou cque jai peur
Je sens plus mon cœur
Je vais mou, mourir de frayeur
Ah nom de non , j’entends le canon
C’est pire que d’être au front
Et toujours plus fort
Ils redisaient encore
Serre moi dans tes bras, serre toi contre moi
Car voila les gothas

Ça leur suffit et le lendemain
Nos deux bourgeois avaient pris le train
D’un cœur léger, ils vont loger
Dans le plus beau des hôtels de Bordeaux
Mais le mari durant toute la nuit
Ah quel écueil, ne put fermer l’œil
Madame dans le plumard
Ayant des cauchemars
Criait l’œil hagard
Serre moi contre toi, serre toi contre moi
Tiens moi , bien, bien, bien
Dis mon Adrien
C’est fou c’que j’ai peur
Je sens plus mon cœur
Je vais mou, mourir de frayeur
Ah nom de non , j’entends le canon
C’est pire que d’être au front
Et toujours plus fort
Elle redisait encore
Serre moi dans tes bras
Tout ce que tu pourra
Car voila les gothas

Neuf mois après tous ces incidents
Bien qu’la dame ai plus de soixante quinze ans
Elle donnait le jour, à un amour
De ptit loupiot qui pesait cinq kilos
Les deux bons vieux furent tellement heureux
Que chaque nuit , Dès qu’on fait du bruit
Pour recommencer, il faut s’embrasser
Et crient sans s’lasser

Serre moi contre toi, serre toi contre moi
Tiens moi , bien, bien, bien
Dis mon Adrien
C’est fou c’que j’ai peur
Je sens plus mon cœur
Je vais mou, mourir de frayeur
Ah nom de non , j’entends le canon
C’est pire que d’être au front
Et toujours plus fort
Elle redisait encore
Serre moi dans tes bras
Tout ce que tu pourra
Car voila les gothas

 

Et une petite dernière sur le génocide arménien :

 

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